Sur les chemins du Portugal

Nous y voilà enfin, au Portugal, même si nos chemins sont plutôt des routes pour l'instant...

En chemin (pardon... en route), nous avons croisé des ponts suspendus...

... sur le Guadalquivir, encore...

... sur la Guadiana...

... et des vols de grues cendrées en formation (qui crient pour qu'on lève la tête à leur passage mais ne s'arrêtent pas pour qu'on puisse les prendre en photo, hélas...), à moins que ce ne soit des cigognes, dont nous avons vu les nids plantés sur les bords de l'autoroute.

Au fait, toutes mes excuses pour n'avoir pas été au rendez-vous du blog hier soir, mais l'orage qui a éclaté pendant l'apéro et qui s'est poursuivi une bonne partie de la nuit, nous a quelque peu désorganisés... Je m'y colle dès potron minet ce matin (spéciale dédicace à Christine qui se reconnaîtra encore une fois...), aidée par le décalage horaire, car nous sommes revenus à l'heure d'hiver. Le Portugal a semble-t-il décidé de ne pas changer d'heure. Vive le Portugal!!!

Nous sommes à Sagres, au Finistère de l'Algarve, que nous avons rejoint en fin d'après-midi, après une traversée ponctuée de quelques haltes touristiques, mais sans nous éterniser car l'Algarve n'est pas notre objectif, même si c'est visiblement celui de beaucoup de monde... Les touristes abondent en cette fin de saison!

Première halte à Caceia Velha, petite village à croquer du bord de mer. Je vous laisse apprécier...

Et visite éclair de Tavira, la ville-île, noyée de touristes, dont nous nous sommes surtout intéressés aux hibiscus, décidément le fil rouge de ce voyage...

Et Henri a réussi à parler à un sikh avec un chapeau!!!!

Allez, le petit déjeuner m'appelle... C'est tout pour ce matin!

A suivre...